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Cette baroudeuse s'est mise tardivement au polar, exactement vingt ans après être entrée en littérature. C'était avec L'Octobre (éd. Jean-Jacques Pauvert), en 1976, année où [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] elle débute, à 25 ans, dans les cafés-thé?tres au sein du trio Les Trois Jeanne. Un triomphe, souvenez-. Les pétulantes comédiennes étrillaient les machos et dépeignaient les petites misères de la condition [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] féminine. Avec leurs deux spectacles, les comédiennes ont fait salle comble et le tour du monde.
Il y a tout juste cinquante ans, succombait à une overdose de médicaments. Ce [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] jour-là, deux familles de Lyonnais, Bernard, Catherine, Charles, Thierry et [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] Nicole, bouclent leurs valises. Direction : un camping du sud de la France. Nous sommes en 1962, "l'époque où [url=http://www5e.biglobe.ne.jp/~yariko/yybbs/yybbs.cgi]air jordan pas cher Article M[/url] tout est en germe : la modernité, l'émancipation des femmes, la , etc., mais rien n'est épanoui...", raconte la nouvelliste, qui, dans cette étude de moeurs et d'humeurs, fait habilement les des protagonistes, jusqu'au drame.
Mais ce qui passionne l'épouse du scénariste de , ce sont les femmes. "Je suis prête à l', raconte-elle sur son site (Chantalpelletier..fr). J'écris des portraits de femmes. Sur tous les tons, dans [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] divers genres, sous de multiples prétextes, et l'obsession n'en finit pas. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] (...) Je les cache derrière des inspecteurs de , des recettes de cuisine, des meurtres, des rires, des récits autobiographiques, des vengeances ou [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] des amours, mais je ne fais que ?a, corps et paroles à des femmes." Ce sera encore le cas dans son prochain roman, prévu pour 2013.
, en termes vifs ou en éclaboussures de sang. Là est l'art de Chantal Pelletier, dans l'attention qu'elle prête à la banalité du quotidien [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]hollister sale Sport extrême [/url] qui dérape pour un rien, une mauvaise rencontre, un mot déplacé. A petites touches, elle excelle à la trame de vies [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] ordinaires qui se dénoue en tragédie. En témoigne avec brio Crise de nerfs (coll. "Les petits polars du Monde").
L'aventure dura dix ans. Après quoi, multiplie les formes d'écriture : scénarios, essais, recueils de nouvelles ou de poèmes, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] romans, biographies. Carnassière, Chantal [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan[/url] Pelletier ? Plut?t affamée de curiosités, de voyages et d'amitiés. Elle en noua une belle en 1977 avec , la voix chaude de FIP et de . La mort de son amie, en 2009, la laissa inconsolable.
Dans son oeuvre, la cuisine tient un r?le important. Plus qu'une marotte, c'est un thème de prédilection et un art de [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] chez cette auteure qui mitonne des polars à la sauce aigre-douce. "Le céleri rémoulade était dégueulasse, et [url=http://www.americatownmovie.com]jordan pas cher[/url] ma femme vraiment trop mauvaise cuisinière, je n'en pouvais plus, j'ai tiré. Elle est tombée, net, sans , ses yeux se sont juste un peu écarquillés, du genre : qu'est-ce qui t'arrive ? [url=http://cgi.ebay.co.uk/170693034119]barbour Zoom In On Small Busi[/url] Elle avait l'habitude de mes blagues, j'étais d'un naturel assez taquin, mais, assez vite, elle a compris que je ne plaisantais pas." (Tirez sur le caviste, 2007.)
Le polar, où elle marie sensibilité et humour, fut une rencontre de hasard. En 1997, un éditeur lui commande un roman policier. "Je connaissais à peine le genre, je ne m'y intéressais pas, se rappelle-t-elle. J'y ai pris plaisir. J'aime l'urgence du noir, la menace qui tend les situations, la mort qui r?de, les paroxysmes." C'est peu qu'elle a vite appris. Qu'on relise Le Chant du bouc (Gallimard, coll. "Série noire", 2000, Prix de la littérature policière de Cognac), où le danseur vedette du Moulin-Rouge est assassiné dans sa loge, son cadavre enlacé à celui de l'habilleuse... Il fait partie de la quadrilogie mettant en scène l'inspecteur , surnommé "More is less", flic dépressif et daltonien, "infirme du coeur et de la queue", qui tête des cigarillos et m?chonne des chewing-gums à la cannelle.