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Charles Darwin [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] avait-il croisé ses lointains ancêtres, en 1835, lors de son séjour aux Galapagos ? Quoi qu'il en soit, l'espèce, endémique de cette région du monde, est sans doute bel et bien éteinte. Une extinction d'autant plus désolante qu'elle survient après quarante ans [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] d'espoir de la rena?tre. Georges le solitaire avait été découvert en 1971 sur Pinta, une ?le de l'archipel dont la végétation était alors ravagée par les chèvres et les cochons.
En janvier 2012, une étude parue dans la revue révélait ainsi que la signature génétique de Chelonoidis elephantopus, une [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] [url=http://bdaq.com/blogs.php?action=show_member_blog&ownerID=868]moncler outlet La Bolivie nationalise une troisiè[/url] autre tortue géante des Galapagos que l'on n'a plus revue depuis cent-cinquante ans, était présente dans l'ADN de ses descendants hybrides. Qui sait aujourd'hui où sont les gènes de [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] Georges ?
-, unique survivant connu de l'espèce Geochelone abigdoni, est [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] mort dimanche 24 juin, aux ?les Galapagos. Les causes du décès restent inexpliquées, a indiqué le service du Parc national de l'archipel qui précise qu'une [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] autopsie serait pratiquée ultérieurement. Cette tortue géante de 90 kilos, dont l'?ge est estimé entre 80 et 100 ans, ne laisse aucune descendance.
TENTATIVES D'ACCOUPLEMENT
Mais comment une partenaire quand on est [url=http://www.izumito.com/Cgi-bin/takashima/bbs/joyful/joyful.cgi]barbour Generating Traffic Fo[/url] le seul représentant de son espèce ? De nombreuses tentatives d'accouplement furent tentées avec des femelles de sous-espèces voisines, [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] également géantes et endémiques des Galapagos. En vain. En juillet 2008, deux d'entre elles donnèrent pourtant treize beaux ?ufs. Mais ceux-ci, placés en incubation, se révélèrent tous infertiles. Fin d'une espèce, donc.
Promptement transféré dans le d'élevage de tortues géantes Charles Darwin, sur l'?le de Santa Cruz, Georges [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] devint [url=http://lamkamtong.com/cgi-bin/honey.bak/honey.cgi?mode?result:?chosen?nickname]ugg pas cher Kiev a réussi l[/url] aussit?t [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] la tortue la plus précieuse du monde aux yeux des naturalistes, qui s'empressèrent de sa reproduction. L'espérance de vie moyenne de l'espèce étant de 150 à 200 ans, l'animal, [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] sur ce plan, était dans la fleur de l'?ge.
Comment le reptile parvint-il à dans ces conditions ? Toujours est-il qu'un chercheur d'escargots en provenance de buta par hasard sur sa carapace (les tortues géantes des Galapagos possèdent un art du camouflage hors du commun). Révélant, divine surprise, que l'espèce n'avait pas disparu comme on le croyait.
Alors que les Galapagos étaient autrefois le refuge privilégié des tortues géantes - on en dénombrait au moins quinze espèces distinctes -, l'introduction d'animaux concurrents dans leur écosystème les a aujourd'hui quasiment décimées. Mais si Geochelone abigdoni fait [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] partie [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] du passé, ses gènes, eux, survivent peut-être ici ou là.