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Or Apple n'est pas encore présent sur ce marché. Peut-être parce que le modèle du streaming serait vingt fois moins rentable que la vente de titres, selon les spécialistes. Des rumeurs concernant le lancement d'une radio thématique sur iTunes sont récurrentes. Cela suffira-t-il à iTunes au pinacle ?
Plus tard, le lancement de l' (2007) et de l'iPad (2010) et leur incroyable succès ont contribué à la mainmise d'Apple sur le marché de la musique. En dépit de la concurrence de Yahoo!, et même [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan outlet[/url] , qui ont tous lancé leurs magasins en ligne [url=http://www.facebookofmlm.com/Social/blogs/post/215383]giuseppe zanotti Second Life interdit les jeux dargent et ferme ses casinos[/url] de musique.
Une nouvelle mutation des usages pourrait elle [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] aussi perdre au géant de sa superbe : le "streaming", c'est-à-dire la possibilité d'écouter de la musique sans la télécharger, gr?ce à un système d'abonnement. Promu par le suédois Spotify et le fran?ais Deezer qui comptent, respectivement, 5 et 3 millions d'abonnés, ce système séduit de plus en plus.
A l'époque, iTunes n'est pas le seul service de téléchargement légal disponible : Il y a des sites comme MP3.com ou Allmusic.com. Problème : les titres vendus par ces magasins sont tous grevés par les [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] DRM, des programmes de protection contre la copie, qui rendent les fichiers très contraignants à ou à sur certaines plateformes, notamment sur les lecteurs MP3.
En dépit, aussi, des critiques de certains acteurs [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] du secteur concernant la qualité sonore des disques vendus [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] ou encore le système fermé d'iTunes. Impossible de don à un tiers de ses morceaux achetés. Encore moins de les transférer sur une [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] machine autre qu'un terminal Apple. Un système qui pourrait, à terme, [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan sito ufficiale[/url] se contre le groupe.
Autre atout : le prix. Steve Jobs a imposé aux maisons de disque de chaque séparément 0,99 centime d'euro. L'album, lui, était proposé entre 9,99 euros et 14,99 euros. Contre au minimum 20 euros l'album . Par ailleurs, iTunes s'est diversifié, proposant du téléchargement ou de la location [url=http://www.move-grp.co.jp/p/postmail.cgi]hollister outlet sale La Cors[/url] de films.

Selon des statistiques fournies par Apple, plus de 25 milliards de chansons ont été vendues depuis la création du service, et, actuellement, 15 000 téléchargements sont effectués chaque minute. Pour le seul premier trimestre 2013, iTunes a généré 2,6 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros) de chiffre d'affaires, un record
Lancé le 28 avril 2003, iTunes s'est imposé en créant littéralement le marché de la musique légale dématérialisée. Aujourd'hui, iTunes pèse près de 75 % des ventes de musique numérique. Qui elles-mêmes représentent, selon le cabinet , 34 % du chiffre [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti[/url] d'affaires total du secteur de l'édition numérique.
COMMISSION SUR CHAQUE TITRE
"Au moment du lancement d'iTunes, l' musicale était exsangue, le faisait rage et il y avait déjà de moins en moins de monde pour acheter un CD", rappelle Ed Barton, de Strategy Analytics. A l'époque, les consommateurs commen?aient à se sur des logiciels qui permettaient à chacun de télécharger des morceaux stockés en MP3 (le format de compression de la musique) dans les ordinateurs [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] des uns et des autres (c'est le principe du "peer to peer").
En quelques années, les revenus de l'industrie musicale se sont effondrés. "C'est là que est arrivé et qu'il a convaincu [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] les plus importantes maisons de disque de accessibles leurs catalogues sur sa plateforme", relate , du cabinet MidiaConsulting. "Il leur a expliqué, poursuit l'analyste, qu'avec le bon marketing, il saurait être une alternative." En échange d'une commission de 30 % sur chaque morceau vendu, Steve Jobs promet aux maisons de disque de reconquérir leur public en s'adressant à lui d'une nouvelle manière.
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"Les fichiers vendus par Apple contenaient aussi des DRM, précise , cofondateur de la plateforme de téléchargement Qobuz, mais les leurs ne posaient pas de problème car l'entreprise fournissait un service tout intégré : [url=http://www.ggfabu.com/thread-6999291-1-1.html]barbour pas cher soldes Emplois fictifs la (seule) voix qui accuse Jacques Chi[/url] un , un de gestion [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] et le meilleur lecteur de MP3 du marché. Tout fonctionnait parfaitement ensemble." L'iPod, le lecteur MP3 du groupe de Cupertino, avait été lancé en novembre 2001 et permettait de le plus simplement du monde n'importe quel fichier MP3.
UN SYST?ME FERM?
a fêté ses dix ans dimanche 28 avril. Pour le coup, le groupe de Cupertino (Californie) a habillé la [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] page d'accueil de sa plateforme d'une infographie retra?ant les moments forts de son histoire.