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"Cette technique n'est pas très compliquée à en place. En revanche, la difficulté réside dans la récupération des fonds", explique Vincent Maret, consultant sécurité chez Ernst & Young. Les malfaiteurs ont besoin "d'employer" un internaute crédule qui servira d'intermédiaire local pour transférer [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister pas cher[/url] les fonds. C'est ce que l'on appelle une "mule". On le contacte par l'intermédiaire d'un courriel en lui promettant entre 5 % et 10 % des sommes transférées. à ce type d'escroquerie est risqué : une "mule" est passible de 5 ans de prison.
Le "phishing" (hame?onnage) qui consiste à [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] la crédulité des internautes en "lan?ant un filet", le plus souvent via un envoi [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] massif de courriels non sollicités, afin de les internautes vers de faux sites Internet bancaires ou d'achat en ligne, s'est fortement développé. Selon Symantec, le numéro un mondial des éditeurs de logiciels de sécurité, 1,6 milliard de messages "phishing" ont [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] été interceptés entre janvier et juin 2006, soit une augmentation de plus de 81 % par rapport au premier semestre 2005.
Ces "vulnérabilités" peuvent par exemple d'une erreur de programmation. Elles sont découvertes soit par des chercheurs, soit par la société elle-même, soit par des personnes malveillantes.
Une dernière menace se profile : l'augmentation du nombre de "vulnérabilités", c'est-à-dire de failles dans un système, permettant à un attaquant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de atteinte à la sécurité d'une information ou d'un système d'information.
Enfin le Clusif [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] a souligné qu'en 2006 comme [url=http://cxy.uueasy.com/read.php?tid=4134047]jordan Affaire Cahuzac la banque Reyl veut faire entendre sa version des faits[/url] en 2005, il n'y avait pas eu d'attaques de masse à travers des virus comme Sobig par exemple. "Il n'y en aura pas [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] non plus en 2007 ou en 2008. Ce temps est terminé. Aujourd'hui les attaques sont beaucoup plus ciblées", prédit Fran?ois Paget, secrétaire général du Clusif et chercheur [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] antivirus chez McAfee.
Aucun secteur [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] n'est épargné, notamment celui des courtiers en ligne. Le Clusif note que le "stock spam", qui consiste à le cours de en envoyant de fausses informations, se développe. "Les mails vont de la diffusion de fausses nouvelles à des appels enthousiastes à une action", indique M. Maret.
Un autre type de cybercriminalité se développe : le "Spit" (Spam over Internet Technology) ou "crachat téléphonique". Ce terme désigne le spam [url=http://cgi.sendai-p.com/honey/honey.cgi%3Fmode%3Dres%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2B%2Bresult%253E]jimmy choo paris Facebook Pro[/url] vocal, c'est-à-dire les messages publicitaires sur les réseaux de communication téléphoniques comme Skype. Dernièrement, des abonnés au [url=http://ilms-saga.jp/cgi-def/admin/C-002/notice-board/visit/main.pl?PAGE_NUM=1%2525255Dfarmville]louboutin pas cher Deals On A[/url] téléphone mobile ont eu une mauvaise surprise. Leur téléphone sonne et s'arrête aussit?t. Ce qui évite une facturation pour l'attaquant. Mais la victime voyant que quelqu'un a tenté de la rappelle parfois le numéro, celui-ci est surtaxé. "Ce numéro [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] (08-97-12-XX-XX) a été désactivé depuis quelques semaines", affirme le Clusif.
Selon la société de protection contre les virus et les spams, Sophos, le "stock spam" a représenté 15 % du total des spams en 2006 contre 1 % en 2005. "Les propositions concernent plut?t des s moyennes que des grosses [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] capitalisations boursières, observe M. Maret. Toutefois, ce problème pose le problème de la sécurité des comptes de Bourse en ligne qui devront être davantage sécurisés à l'."
des données afin de s' de fa?on illégale.
Selon M. Paget, il existe un véritable marché. Il donne l'exemple de deux sociétés qui proposent d' des "vulnérabilités" en s'engageant à entre 8 000 et 12 000 dollars à celui qui les leur apporterait. Cet achat leur permet d' de manière frauduleuse dans le système. M. Paget cite le cas de l'intrusion dans les ordinateurs de trois salariés d'une entreprise travaillant de près [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] sur le iranien. La plupart du temps ces "vulnérabilités" sont corrigées avant une véritable attaque.
En 2006, a semble-t-il connu une année difficile pour la sécurité de son de navigation sur Internet . Selon le rapport ISTR publié tous les six mois par Symantec, il a concentré près de la moitié des attaques portées contre les navigateurs Internet.
En décembre 2006, la SEC, le gendarme de la Bourse américaine, a porté plainte contre un estonien qui avait réussi à spéculer en piratant vingt-cinq comptes de bourse en ligne avec un profit de plus de 353 600 dollars (272 000 euros). "Ce type de délit pose le problème de la sécurité de ces comptes qui devront être mieux sécurisés à l'avenir", analyse-t-il.
LES COURTIERS EN LIGNE ATTAQU?S