ierm8ec8
Dołączył: 23 Lip 2013
Posty: 10384
Przeczytał: 0 tematów
Ostrzeżeń: 0/5 Skąd: England
|
Wysłany: Nie 13:14, 06 Paź 2013 Temat postu: isabel marant sneakers Algues vertes 700 million |
|
|
"Plan d'action"
La cause du mal est connue : trop d'élevages (60 % des porcs, 55 % des volailles et 28 % des vaches laitières de France) sur une trop petite surface. Les terres sont saturées de déjections animales, utilisées pour les , et gorgées d'engrais chimiques. Les nitrates excédentaires se retrouvent dans les rivières. La concentration moyenne dans les rivières bretonnes était de 5 milligrammes par litre en 1971. Elle a atteint le taux record de 38 mg/l en 1998. Au moins une quinzaine de captages d'eau potable dont les taux dépassaient 50 mg/l par litre ont été fermés.
De sévères batailles se profilent à l', avec en [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant sneakers[/url] ligne de mire 2015, la date butoir fixée pour un "bon état écologique des eaux" [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] dans toute l'. En outre, la France risque toujours 27 millions d'euros d'amende pour dépassement du plafond de 50mg/l dans plusieurs prises d'eau brute [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] bretonnes. Les programmes de sensibilisation et d'accompagnement des pratiques respectueuses de l'environnement menés sur la base du volontariat vont - la méthode n'a [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] pas donné de résultats tangibles pour l'instant. Un nouveau durcissement de la réglementation n'est pas exclu, mais pas avant deux ans.
Seule option selon lui, réduire le cheptel, tout en [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] indemnisant des agriculteurs aujourd'hui en prise directe sur le marché et contraints de beaucoup pour leur revenu. Les systèmes extensifs (agriculture biologique, systèmes herbagers) représentent seulement 10 % de la surface agricole régionale.
L'agriculture, mais aussi toute la filière agroalimentaire, représente un poids économique considérable en Bretagne, estimé à 40 % du chiffre d'affaires régional. Cette réalité a conduit l'Etat à . Les associations de protection de l'environnement citent, de leur c?té, [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] les co?ts "cachés" de l'agriculture intensive : ramassage des algues vertes, traitement et travaux pour potabiliser l'eau (donc augmentation de son prix), pertes de recettes touristiques et de valeur immobilière des biens. Des pertes qui n'ont jamais été évaluées.
Pour les environnementalistes, les pouvoirs publics sont "aveugles". "Le modèle agricole breton n'a pas changé fondamentalement. On a simplement tenté d'en les inconvénients les plus criants, affirme Gilles Huet, délégué [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] général d'Eaux et rivières de Bretagne. On ne peut pas à dépenser de telles sommes pour des gains limités. On va s'épuiser financièrement et perdre patience à ceux qui s'engagent dans des modes de production différents."
Dans l'immédiat, la "mission algues vertes" annoncée par Fran?ois Fillon le 20 juillet devra un "plan d'action" d'ici trois mois. La t?che sera particulièrement [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] difficile. Pour les à la source, il faut à un taux de nitrates très bas, autour de 10 mg/l. Un objectif inatteignable sans un bouleversement total de l'agriculture dans les bassins versants concernés. "Il existe un seuil sous lequel on ne pourra pas , à moins de toute activité agricole", affirme M. Ménard. Le gouvernement envisage donc également un volet "curatif", qui prévoit un ramassage des algues en mer.
Parallèlement, selon de nombreux observateurs, la réponse de l'Etat a [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] été insuffisante. "La Bretagne est la région qui a fait le plus d'efforts sur l'eau, mais si la réglementation avait été plus sévère dès 1995, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] on n'en serait sans doute pas là aujourd'hui, note [url=http://www.11yx.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=2766631]barbour Gucci Sunglasses - The Most Effective Marketing Designer Types[/url] un connaisseur du dossier. On a temporisé, en fixant des plafonds d'épandage trop élevés. On se retrouve aujourd'hui dans l'obligation de des mesures plus drastiques, et encore plus difficile à gérer."
Depuis quinze ans, beaucoup a été tenté pour contre la pollution, essentiellement sous l'impulsion de directives européennes. Des plafonds ont été fixés pour la quantité d'engrais épandue. Plus de 450 stations de traitement du lisier ont été construites dans les gros élevages. Les exploitations ont été équipées de cuves qui permettent de les déjections, donc, en théorie, de au bon moment. De nombreux programmes de sensibilisation aux "bonnes pratiques agricoles" ont été menés.
Pourtant, la prise de [url=http://www.nsl.co.jp/jinzai/postmail.cgi]isabel marant pas cher Des hu[/url] conscience des agriculteurs a [url=http://cgi.www5a.biglobe.ne.jp/~baby/joyful/joyful.cgi]louboutin Tintinophile jusq[/url] eu lieu, et, de l'avis général, les pratiques agricoles ont évolué. L'époque des extensions illégales de cheptel et du lisier directement versé à la rivière est révolue. Dans certains bassins versants, la qualité de l'eau s'est améliorée. Mais, si les excès ont cessé, beaucoup reste à .
Les proliférations, provoquées par l'afflux de nitrates en mer, ont touché cette année une centaine de sites, causant la mort d'un cheval par intoxication et mettant en danger la vie de son cavalier, à Saint-Michel-en-Grève (C?tes-d'Armor), fin juillet. Le 7 septembre, une préliminaire a été ouverte par le parquet de Saint-Brieuc dans une autre affaire : le décès d'un salarié qui transportait des algues vertes. Les populations s'inquiètent de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] plus en plus des conséquences des émanations toxiques sur leur santé. "Nous étions face à un problème environnemental, nous avons désormais affaire à un enjeu de santé publique", commente M. Mével.
Au total, quelque 700 millions d'euros ont été investis par l'Etat et les collectivités locales depuis 1995 - et 240 autres sont prévus d'ici 2013. Un milliard d'euros a été investi par les agriculteurs dans leurs exploitations.
chargé de l'eau, résume le sentiment général : "On a obtenu des résultats, mais ils restent limités, et pas à la hauteur des investissements consentis", affirme-t-il.
Pour quel résultat ? La concentration moyenne en nitrates a baissé, mais elle stagne depuis le début des années 2000 autour de 30 mg/l. "Il faut être [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] patient, le milieu naturel réagit lentement", plaide Joseph Ménard, vice-président de la chambre régionale d'agriculture chargé de l'eau. L'argument est utilisé depuis dix ans.
Post został pochwalony 0 razy
|
|