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La salle suivante présente donc des éléments de son studio, les corps en mouvement de Muybridge et l'accumulation de corps de la de Michel-Ange, et en face, cette de 1962 avec ce corps nu en torsion à l'intérieur de sa propre enveloppe dermique, ce [url=http://xb968.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=1867&fromuid=117]tiffany Le FMI critiqué en interne sur sa gestion de la crise de la zone euro[/url] mouvement en spirale figé et superposé, et le décalage du rectangle tracé au fond, qui induisent un vertige, une ivresse, un malaise aussi.
Il est toujours question de cordes, de fils, de ficelles chez les deux artistes restantes, qui a réalisé une très poétique , calligraphique et épurée, avec des vieilles portes trouvées dans les réserves du Palazzo Strozzi (mais, si près de Bacon, j'aurais préféré des , plus corporelles), et que j'ai alors découverte. C'est une artiste du corps, de son propre corps (y compris de sa ?dans la série ), et on [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] est aisément fasciné par les de ses performances où elle recouvre son visage ou [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] son corps [url=http://www.volleyforum.be/discussion/29880/moncler-sito-ufficiale-une-meilleure-prise-en-compte-par-les-employeurs-francais]moncler sito ufficiale Une meilleure prise en compte par les employeurs français[/url] d'une ficelle noire comme d'un dessin géométrique : face à ce corps ainsi structuré, blessé, contraint, dont la sexualité est déniée par ce carcan (on est aux antipodes du ), face à cette forme d'auto-mutilation représentationnelle qui parfois se redouble par la violence réitérée d'une couture sur l'image photographique elle-même, on se retrouve là tout près de Bacon.
Très impressionnante aussi est sa série de douze photographies , qui commence avec une image entièrement blanche; peu à peu, on voit l'artiste, vêtue [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] de noir, pousser son corps contre ce mur blanc, sa tête apparaissant [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] d'abord dans l'angle en bas à gauche, puis son corps occupant peu à peu tout l'espace. En même temps, l'image se défait, des traits noirs, des plaques sombres y apparaissent, et à la fin l'image est entièrement noire, le cycle est complet, du blanc au noir (de la vie à la mort ?). Elle a en effet peu à peu gratté la surface du négatif avec une pointe pour y faire dispara?tre l'image : son corps se [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] fond dans le mur, son image se fond (fondu encha?né) dans le néant, sa résistance contre le mur (le Mur ?) n'est qu'un échec. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] J'ai alors repensé aux amants de Bacon se tuant la veille de ses expositions.
Alors, après cette explosion de force, de désir et de peinture, c'est un peu difficile de voir des oeuvres qui, de Bacon, ne semblent retenir que le formalisme de la décomposition du corps, comme les?délires à la plasticine de? et les visages défigurés, voire entartés, d'. Heureusement, les trois autres artistes invités ici sous le thème de la 'condition existentielle' (?) s'en sortent mieux. D'abord l' d' dégage une sensation de tension violente et et de rel?chement soudain, de sauvetage d'un danger mystérieux juste avant la catastrophe : il faut se baisser pour entrer dans la salle, contourner [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] les poteaux de soutènement, se glisser précautionneusement le long des murs pour ne pas toucher la corde, qui pourrait, qui sait, vous happer, vous blesser, puis laisser la tension monter jusqu'à l'insupportable, et enfin, soudain, quand tout se défait, se délie, se résout, respirer, se détendre, et peut-être, comme [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] tous les animaux, être triste. Une certaine forme de mélancolie jouissive assez baconienne, en somme.
Photos 1 & 3 courtoisie de l' de la Strozzina; photos 5, 6 & 7 de l'auteur. Bacon?? The Estate of Francis Bacon, All rights reserved. DACS, London 2012. Francis Bacon et Annegret Soltau étant représentés par l'ADAGP, les reproductions de leurs oeuvres seront ?tées du blog à la fin [url=http://havekiss.com/forum.php?mod=viewthread&tid=208239]nike air jordan pas cher Le Brésil a un potentiel immense[/url] de l'exposition.
Mais ne boudons pas notre plaisir puisqu'il y a ici huit toiles de Bacon, certes un peu écrasées sous le plafond bas du sous-sol du Palazzo Strozzi, mais qui néanmoins vous sautent au visage dès la première salle (pas de , toutefois). La plus ancienne est de 1951, tableau étrange, unique et précurseur, où on reconnait déjà la fascination du peintre pour le mouvement (plus loin dans l'exposition, dans les , Muybridge est très présent). Mais on pourrait aussi y retrouver des hommes qui marchent selon Giacometti, ou peut-être les soldats de Xian; et ce premier cube tracé sur la toile, serait-il [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] en rapport avec le Modulor de Le Corbusier ? Quant à l'ours polaire, il restera mystérieux ( ?).?? c?té, des portraits de Muriel Belcher (1961; 'arguably the rudest person in England' selon , et une grande amie et h?tesse de Bacon dans son club de Soho) et de Georges Dyer (1974) (son amant qui se suicida la veille de son exposition au Grand Palais en 1971, neuf ans après que son amant Peter Lacy se soit suicidé la veille de son exposition à la Tate...).
La contemporanéité de , sa résonance auprès de jeunes artistes contemporains, c'est ce que voudrait démontrer l'exposition à la à Florence (jusqu'au 27 janvier), mais ce n'est qu'un demi-succès, à mes yeux : deux des artistes présentés le sont, à mon [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] sens, trop sur la base de similitudes formelles et superficielles; heureusement,?la dimension plus spirituelle du travail des trois autres me semble un bien meilleur témoignage, et une forme d'hommage à Bacon.
Enfin, plus loin, l'étonnant petit Portrait d'Henrietta Moraes de 1969, avec cet aplat jaune sur la moitié de la toile et cette rare netteté de la ligne délimitant le visage, lui-même plein [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] d'énergie, de mouvement et de destruction programmée, m'attire davantage que le grand??qu'il peignit d'elle nue (et qui atteignit des en [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] vente publique), portrait assez révélateur de la de cette sulfureuse et plantureuse égérie (John Deakin fit des photos d'elle nue pour ce tableau et les revendit ensuite sous le manteau aux marins en goguette dans les rues de Soho).