ierm8ec8
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Wysłany: Nie 21:24, 06 Paź 2013 Temat postu: tiffany Tant que lactivité ne reprend pas, il exi |
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Actuellement, le pétrole remonte et les prix sont revenus à un taux "normal" d'inflation, d'environ 1,6 %. En 2010, il y aura vraisemblablement moins de destructions d'emplois qu'en 2009, [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] mais la désinflation ne pourra pas son r?le d'amortisseur.
Plane, économiste senior au département analyse et [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] prévision de l'Observatoire fran?ais des conjonctures économiques [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] (OFCE), les faibles prévisions de croissance pour 2010 – de 0,9 % – font une baisse des prix et des salaires par les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] fran?aises.
L'année 2010 ne s'annonce donc pas très bonne. Pas seulement à cause de l'inflation, mais aussi [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] parce que les pertes d'emplois [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] resteront élevées, que les dispositifs sociaux joueront moins leur r?le – je pense notamment aux ch?meurs en fin de droits –, et [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] parce que plusieurs mesures d' aux ménages touchent à leur fin.
La dynamique du marché du travail est similaire à la dynamique des salaires et des prix. Le ralentissement de la hausse des salaires que nous subissons actuellement est lié à un ch?mage fort, une situation qui place les salariés en position de faiblesse en termes de négociation salariale. Fin 2008, les salaires avaient progressé de 3 % par rapport à l'année précédente. Début 2010, nous ne sommes plus qu'à 1,8 % de hausse.
Quelles évolutions peut-on ?
Quel rapport existe-t-il entre le marché du [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] travail et l'inflation / déflation ?
Quelle est la réalité de l'inflation actuellement ?
Tout d'abord, l'indice des prix à la consommation calculé par l'Insee est un indice moyen, basé sur un panier. Il n'est donc représentatif de personne en particulier. Votre panier sera très différent selon que êtes un ménage riche ou pauvre, ?gé ou jeune, ce qui provoque d'importantes disparités de perception entre ce qu'annonce l'Insee et votre personnelle.
Les entreprises connaissent actuellement un déficit d'activité comparable à celui des années 1930, entra?nant un excès d'offre par rapport à une demande qui reste faible, et des surcapacités dans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] les entreprises à l'origine des destructions d'emplois. Dans cette situation, les entreprises n'ont pas intérêt à : la seule solution pour écouler la production est de les prix et les salaires.
A contrario, l'inflation "importée", qui trouve sa source dans la baisse de l'euro par rapport au dollar – une baisse qui renchérit le prix des produits importés –, affecte directement le d'achat des consommateurs.
D'un point de vue macroéconomique, les prix se caractérisent par une forte volatilité depuis deux ans. Le pétrole, en particulier, a connu en juillet [url=http://www.theawakened.eu/blogs/post/12806]giuseppe zanotti sneakers La justice se saisit de la nomination de François Pérol à la tête de BPCE[/url] 2008 une flambée sans [url=http://www.shixue.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=127105&pid=447664&page=1&extra=page=1#pid447664]abercrombie soldes SEO Ireland[/url] précédent depuis les années 1990. Mais l'arrivée de la crise a entra?né une baisse du prix du pétrole et déclenché un phénomène de désinflation, c'est-à-dire de baisse des prix, qui a au moins eu l'avantage de le r?le d'amortisseur de la crise.
Une méthode plus intéressante est de l'inflation sous-jacente, qui laisse de c?té les prix les plus volatils (comme l'alimentation, dépendante des cours des , et le , [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] dont le prix est fixé à l').
Nos prévisions de croissance pour 2010 sont de 0,9 %, un chiffre qui ne permet pas de créer des emplois. Or, tant que l'activité [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] ne reprend pas, il existe un risque déflationniste. Et mieux vaut une "bonne" inflation que de la déflation. La "bonne" inflation [url=http://www5b.biglobe.ne.jp/~nanachan/kboard/kboard.cgi?hpc=110&mode=none]moncler sito ufficiale Un con[/url] est générée par le dynamisme du marché du travail, par la création d'emplois et la hausse des salaires.
Cette année encore, les prix du transport, du gaz ou du timbre ont augmenté. Pourquoi cette impression de hausse permanente ?
Les prix ont touché un point bas en juillet 2009, une baisse qui a permis de , au moins en partie, les nombreuses destructions d'emplois et le ralentissement de la hausse des salaires enregistrés en 2009.
Les différences de perception s'expliquent facilement : les consommateurs vont par exemple être très réactifs face au prix du pain, car ils en achètent tous les jours, mais ils feront moins attention au prix de la machine à . Il faut aussi que [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] certains secteurs sont plus rigides que d'autres, et cela dépend beaucoup de leur modèle concurrentiel. Si la concurrence est très forte dans son secteur, l'entreprise a intérêt à ses prix au plus juste.
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