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"Chez vous, vous avez gr?ce à cette box", explique Amaury Fruchard. S'engage un dialogue de sourds. "Je ne sais pas ce que c'est, le serveur, le machin...", avoue l'homme. "Si vous voulez, nous dispensons des sessions gratuites d'initiation deux fois par semaine", avance Amaury Fruchard.
Unité centrale à bout de bras, Moussa Diabate est justement venu pour ?a. A deux reprises, il a essayé tout seul de [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] réinitialiser sa machine. En vain. En cinq -minutes, Amaury Fruchard résout le problème. "Merci, Mac Gyver (héros d'une série télévisée [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] américaine, bricoleur de génie) ", envoie le jeune homme dans un grand .
Cr?ne chauve, jovial, Jamshid Golmakani, 53 ans, réalisateur de documentaires d'origine iranienne, fréquente depuis longtemps le cyberespace. "J'avais deux ordinateurs chez moi mais j'étais nul", explique-t-il. "Pendant trois ans, j'ai même été abonné à Internet mais sans vraiment l'." Aujourd'hui, il se sent "à [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] l'aise", au point [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] d' envie d' plus loin. "Attention, c'est pas une passion, prévient-il, mais aujourd'hui, qui peut sans l'informatique ?"
Si 30 % du temps passé sur les machines est utilisé pour la recherche d'emploi, on vient aussi ici pour et ses courriels, en ligne, des , ..., le tout dans une ambiance conviviale. Et à la moindre difficulté, l'équipe est là. C'est ce qu'apprécie Betty Devaud, jeune retraitée, mal-voyante depuis six ans. Bénévole de l'association des malades et handicapés (AMH), Betty Devaux, qui possède un portable mais n'a pas de connexion Internet chez elle, "se débrouille" pour les t?ches courantes. Mais elle apprécie de "de l'assistance et [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] de la patience", et des postes adaptés à son handicap. "On essaie de des petits ", résume modeste Amaury Fruchard.
?ois, "est là pour Fredo". Comme tous les vendredis, une fois par semaine, la retraitée pianote sur son clavier à la recherche d'informations sur Frédéric Fran?ois, le chanteur [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] populaire d'origine italienne dont elle est fan depuis 1973. Et si elle "s'est mise à Internet", c'est pour le latin , explique-t-elle, sans les yeux [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] de son écran.
Huguette Fran?ois fait partie des 900 habitués qui, cette année encore, vont la porte du cyberespace municipal de Gentilly (Val-de-Marne). Dans ce [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]giuseppe zanotti soldes Creat[/url] lieu ouvert depuis 2003, et entièrement financé par la municipalité, tout est fait pour désacraliser l'informatique et à tous d'accéder aux de l'information. Le décor est particulièrement soigné. Les ordinateurs portent des noms de fruits et s'alignent au milieu des plantes vertes et des oeuvres d'art, issues du fonds d'art contemporain de la ville.
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Cet [url=http://www.tjxinghai.cn/guestbook.asp]moncler si[/url] après-midi, Alissa Ouechni, 36 ans, fignole son site Internet, sur "Cassis", un gros PC. La jeune femme, qui a fondé une compagnie de danse pour enfants, est autoentrepreneur. A l'aise avec Internet, elle [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] s'est pourtant trouvée démunie au moment de réaliser son propre site. "Il me fallait une vitrine commerciale, explique la jeune femme. Mais sans l' du cyberespace, je n'aurais pas pu m'en ." Son cas n'est pas exceptionnel. "Beaucoup de gens se sont lancés dans l'autoentreprenariat, sans se compte de ce que ce statut impliquait", explique Amaury Fruchard, responsable du cyberespace. Pour se conna?tre, il faut un site, donc déposer un nom de domaine, réaliser des cartes de visite, des affiches..."
Cette accessibilité attire des populations très diverses. "Nous ne segmentons pas les publics. Nous avons des retraités, des actifs en recherche ou en emploi, des jeunes...", analyse Magali Vacherot, l'animatrice multimédia. Aujourd'hui, tout le monde peut à un moment ou à un autre se dépassé par les technologies. "La plupart des gens [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] sont des autodidactes d'Internet. Ils surfent sans problème jusqu'au jour où ils tombent sur un os et c'est [url=http://www.otsu.ed.jp/ktt-e/bbs/bbs.cgi/bbs.cgi%20Result:%20chosen%20nickname%20roacesharge;%20success;%20BB-code%20not%3C/bbs.cgi]hollister SFR baisse à nouvea[/url] la panique", poursuit Magali Vacherot.
En plus des formations, le cyberespace est aussi là pour les besoins. "Beaucoup arrivent en disant : je veux du Word, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de l'Internet... Nous essayons de de fa?on pragmatique leurs [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] envies pour les à ne pas dans les écueils du suréquipement."
Amaury Fruchard, le responsable, témoigne aussi de cette évolution. "A nos débuts, les gens venaient car ils n'avaient pas d'ordinateur ou de connexion. Aujourd'hui, la fameuse fracture numérique est souvent une fracture cognitive ("comment je fais pour"), qui n'est pas seulement liée aux moyens financiers." Comme une illustration à ses propos, un homme entre, portable [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] flambant neuf sous le bras. Il s'installe dans l'espace Wi-Fi, sous la houlette du responsable.
L'inscription est gratuite. Elle donne droit à un crédit annuel de 12 heures. Au-delà de ce quota, l'usager paie 2 euros par heure d'utilisation. La recherche d', les démarches administratives et les apprentissages de base (entra?nement à la souris...) ne sont pas décomptés dans le crédit d'heure.