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On s'extasie, on applaudit, on s'interroge. Comment se fait-il que l'Italie n'ait connu que [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] quelques débrayages catégoriels quand l' et la soumises au même régime se sont enflammées. Et [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ce ne sont pas les seize heures de grève générale annoncées par la CGIL, le plus [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] important et le plus à gauche des syndicats italiens, qui menacent d'ébranler sa certitude de du "bon travail ". Miracle italien ?
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Et après ? Une fois la réforme du travail adoptée, que restera-t-il dans l'agenda de M. Monti ? C'est une autre inconnue. Les formations politiques qui le soutiennent entendent son action au strict domaine de l'économie. A peine M. Monti a-t-il exprimé [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] sa volonté de réformer la - lente et inefficace - et la cha?ne publique de télévision, la Rai - chasse gardée des partis -, que ceux-ci se sont soulevés devant ce qu'ils considèrent comme une atteinte à leur "domaine réservé".
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On [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] saura [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] bient?t - et M. Monti également - qui a eu tort et qui a eu raison de telle ou telle stratégie. Les élections "administratives" - et provinciales - des 6 et 7 mai sont désormais un rendez- [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] redouté par le gouvernement. Que la droite et la gauche confortent leurs positions, et la preuve [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] sera donnée que le soutien au gouvernement des professeurs était un choix juste.
Le second front est [url=http://www.igoz.cn/bbs/home.php?mod=space&uid=229914][/url] plus mouvant et plus politique. Jusqu'alors M. Monti a bénéficié de la plus grande majorité politique jamais accordée à un président du conseil. Le Parti démocrate (PD, [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] centre gauche), le Peuple de la liberté (PDL, droite) et l'Union du le soutiennent sans . Seule la Ligue du Nord et l'Italie des valeurs de l'ancien juge anticorruption Antonio Di Pietro ont choisi la voix de l'opposition ouverte.
En mena?ant de démissionner dans le cas où la réforme du marché [url=http://www.vill.tabayama.yamanashi.jp/cgi-def/admin/C-002/bb1208/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]peuterey outlet Orient-Occide[/url] du travail ne serait pas adoptée, ou trop dénaturée par le Parlement, M. Monti tente de pression sur les partis et de leur crainte et leur impatience. Il sait que [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] sa présence éloigne les risques d'une nouvelle perte de confiance des investisseurs devant l'énormité de la dette italienne qui s'élève à 1 900 milliards d'euros, soit 120 % de produit intérieur brut.
Dans le cas contraire, des tensions ne manqueront pas de se . Si la Ligue du Nord et l'Italie des valeurs devaient un profit électoral de leur opposition, tout pourrait être remis en cause. Et les politiciens qui ont accepté de céder leur place aux techniciens pourraient être tentés de la .
L', les Etats-Unis, la , le Wall Street Journal, le Financial Times et les agences de notation applaudissent à chacune de ses réformes. Ce professeur d'économie aux allures de père tranquille passe pour le "sauveur" de l'Italie et bient?t de la zone euro. Lors de ses dé - dernièrement en Asie -, il déclenche des chants à sa gloire. La cure de rigueur, la réforme des retraites, les libéralisations de l'économie, et la prochaine réforme du marché du travail, qui sera bient?t débattue au Parlement, lui valent des louanges quotidiennes.
Mario Monti est face à un grave problème [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] : sa fonctionne. Plus de quatre mois après son arrivée au à la suite du fiasco du gouvernement de Silvio Berlusconi, l' a retrouvé son rang sur la scène internationale et sa crédibilité sur les marchés. Le "spread" - différentiel de taux d'intérêt entre les bons du Trésor allemands et italiens - est [url=http://www.revistaeltianguis.net/fotogaleria/picture.php?/523/picture.php?/524/index.php?/category/9&comments_order=DESC#comments]barbour paris Sortie de l'auberge par Martine Va[/url] retombé aux alentours de 3 points de pourcentage et la Péninsule a retrouvé la confiance des investisseurs qui achètent désormais sans crainte ses titres de dette.
Mais ce bon élève de la classe libérale devrait peut-être se méfier. Les compliments re?us à l'extérieur masquent à peine de futures difficultés à l'intérieur. Mario Monti a ouvert deux fronts. Le premier est identifié. Il s'agit du front syndical. Les confédérations, même les plus réformistes, sont mécontentes de dispara?tre l'article 18 du code du travail qui limitait le recours aux licenciements abusifs.
Mario Monti sait que sa réussite est paradoxalement son talon d'Achille. La crainte d'un "défaut" de l'Italie s'éloignant, elle réveille les appétits de la classe politique. Au-delà du scrutin de mai, se profile déjà celui du printemps 2013 qui donnera une nouvelle majorité législative d'où sera issu le prochain président du conseil.
Alors que la perspective d'un échec du gouvernement Monti - et d'une "grécisation" de l'Italie - avait, un moment, tétanisé les formations politiques, l'hypothèse d'une réussite leur redonne les coudées franches. Chacune d'elle espère bien se présenter comme l'artisan de la "nouvelle renaissance" de l'Italie, et au plus vite la parenthèse Monti.
M. Monti et sa ministre du travail, , ont [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] fait dispara?tre ce totem de la gauche en expliquant que les freins aux licenciements étaient aussi des freins à l'embauche, notamment des jeunes dont le taux de ch?mage fr?le les 30 %. Jusqu'alors résignés, les Italiens seront-ils prêts à être tondus sans réaction au profit du libéralisme approuvé par l'Union européenne ? Le 13 avril aura lieu une manifestation unitaire de tous les syndicats contre la réforme des retraites : une première après des années de division.