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"Le scénario de moyen terme est [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] prudent, volontairement prudent au vu de notre potentiel de croissance", a insisté Bercy. Pour le ministère, c'est "une question de crédibilité".

Paris (AFP)
Dans le document que Paris a transmis à la Commission européenne - qui, pour la première [url=http://www13.plala.or.jp/gakuki3/cgi_bin/aska/aska.cgi]woolrich outlet La garde à vu[/url] fois cette année, a son mot à dire sur les projets de budget des différents pays membres avant que ceux-ci ne soient votés - le gouvernement recule encore un peu dans le temps les objectifs qu'il s'était fixés en début de mandat.
"C'est difficile de faire le lien de [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] cause à effet avec certitude mais on voit qu'à partir du moment où il y a eu abandon du dogme du nominalisme - c'est-à-dire des cibles de déficits nominaux - on a eu une respiration économique dans tous les pays", rappelle-t-on à Bercy.

Mais pour Bercy, c'est une question de rythme. Le scénario initial du gouvernement a été freiné par une croissance nulle en 2012 et 2013. Mais, au bout du compte, insiste-t-on, l'objectif [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] de déficit structurel zéro en fin [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de quinquennat aura été maintenu.
Dans ses dernières prévisions, au printemps, il espérait encore une croissance de 2% dès 2015.
Le projet de loi de finances pour 2014, présenté mercredi dernier, fait porter 80% de l'effort (15 milliards) sur la dépense.

Le gouvernement a publié mardi ses principales [url=http://www.lpxqsnhdzx.com/wMcms_GuestBook.asp]hollister[/url] prévisions macro-économiques à l'horizon 2017, qui prévoient un retour à une croissance soutenue à [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] partir de 2016 et la résorption du déficit structurel en fin de quinquennat.
Dans le programme de stabilité, les [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] prélèvements obligatoires devaient rester globalement stables, à 46,5% jusqu'en 2016, avant une légère baisse, à 46,3% en 2017.
Le déficit structurel correspond au solde négatif des finances publiques, hors effet de la conjoncture.

"Aujourd'hui, à peu près tout le monde est d'accord pour dire que la phase de croissance faible observée depuis cinq ans s'explique, au delà de la crise financière de 2008-2009, par la rapidité du rythme de consolidation budgétaire", explique-t-on, à propos des plans de rigueur, adoptés qui plus est simultanément, dans l'ensemble des pays européens.
Dans ce rapport économique, social et financier rédigé près de six mois après le programme de stabilité déjà présenté à Bruxelles en avril, le [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] gouvernement assure pouvoir tenir l'objectif européen d'un déficit public ramené sous la barre des 3% du PIB en 2015, à 2,8% précisément.
Une baisse des prélèvements pas avant 2017
"Au printemps, notre scénario était le bon mais il voyait l'embellie conjoncturelle venir un peu plus t?t", ajoute-t-on.

Bruxelles a d'ailleurs accepté cette année de changer d'angle et de se concentrer sur le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] déficit structurel plut?t que nominal.

Paris table sur une "reprise progressive" de l'activité, a précisé l'administration de Bercy à l'AFP, avec une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,9% en 2014, puis 1,7% en 2015 et 2,0% chaque année en 2016 et [url=http://n.91234m.com/guestbook.asp?guestid=]hollister[/url] 2017.

De fait, la crise a tellement mis à mal la production effective de richesses en France par rapport à ses capacités de production potentielle que le rattrapage du [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] retard cumulé depuis la crise ne sera pas encore achevé en 2017.
Dans ses nouvelles prévisions, le gouvernement annonce en outre que le taux de prélèvements obligatoires baissera en 2017, à 45,8% du PIB après 46,1% entre 2014 et 2016.

Ce déficit dit [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] "nominal", c'est-à-dire tenant compte des aléas de la conjoncture, baissera ensuite de 1,7% en 2016 puis 1,2% en 2017.

On est bien loin de l'objectif de déficit nul en 2017 promis par le candidat Hollande pendant la campagne présidentielle en 2012.
Après avoir baissé de 1,7 point de PIB en 2013, il doit se contracter de 0,9 point en 2014 et en 2015, promet le gouvernement, puis de 0,6 point en 2016 et 0,3 point en 2017.

Bercy ne s'en cache pas: à mesure que le gros des efforts de redressement des comptes publics sera réalisé, l'impact [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] en deviendra [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] de plus en plus neutre sur l'activité, laissant le secteur privé prendre le relai.

Les dépenses publiques seront elles réduites de 3 points de PIB en tout (environ 60 milliards d'euros) entre 2013 et 2017. "L'effort portera uniquement sur la dépense en deuxième partie de législature", soit à partir de 2015, a rappelé le gouvernement.