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La crise du logement nourrit la fracture sociale que les politiques promettent de réduire depuis plus de quinze ans. Quand on paie de plus en plus cher pour se , il faut sur les dépenses de base, c'est-à-dire essentielles pour décemment : l'alimentation, la santé, les . Ainsi, quand une voit son taux d'effort pour se passer de moins 20 % de ses revenus à 20 % et plus, elle va réduire ses achats alimentaires de près de 100 euros par mois. Les privations touchent aussi la santé, alors que déjà l' est de plus en plus difficile pour les plus démunis : 44 % des personnes qui peinent à leur [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich online shop[/url] charge logement restreignent leurs dépenses médicales, une proportion en hausse de 23 [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] points en l'espace de trente ans !
Deux études – l'une de l', l'autre du de recherche pour l'étude et l'observation des conditions [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] de vie () – le confirment : le logement co?te de plus en plus cher, et le clivage [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] entre propriétaires [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]hogan outlet[/url] et locataires ne cesse de se . Aujourd'hui, si l'on prend en compte les loyers, les charges, les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] taxes, les dépenses d'eau et d'énergie, les remboursements d'emprunts – autant de postes qui sont en hausse –, un ménage sur deux consacre près d'un quart de ses revenus à son habitation principale. Mécaniquement, le logement pèse plus lourd dans les budgets modestes.
Jeudi 5 avril, des acteurs du logement – dont la [url=http://www.villazuki.it]woolrich sito ufficiale[/url] é Pierre, qui avait lancé, le 2 février, un – [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] ont entendu les candidats à la présidentielle. Tous ont avancé des propositions, mais, pour 73 % des Fran?ais, selon un sondage Ipsos, ils n'en parlent [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]woolrich sito ufficiale Mme R[/url] pas assez. Il leur faut encore la mesure d'une crise du logement [url=http://www.izumito.com/Cgi-bin/takashima/bbs/joyful/joyful.cgi]hogan outlet Un an après sa c[/url] qui devrait [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] être aujourd'hui une cause nationale.
avait dessiné les contours d'une France "où chacun pourra accéder à la propriété de son ". Le candidat s'était fixé l'objectif de passer le taux de propriétaires de 57 %, en 2007, à 70 %. Pour y , il avait introduit la déductibilité du montant de ses revenus des intérêts payés pour un emprunt . Coup d'épée dans l'eau : cinq ans plus tard, seuls 58 % des Fran?ais – et 20 % des ménages les plus modestes - sont propriétaires. Et la crise du [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] logement est toujours là.
La cherté du logement provoque une spirale dépressive et oblige les ménages les plus touchés à une austérité dans les conditions de vie. On rogne sur les transports, mais aussi sur ces dépenses dites superflues mais qui aident à mieux : les , la , l'habillement, les pratiques sportives et festives, les télécommunications, les vacances, les ... Le lien social se délite, la convivialité se raréfie, le moral des ménages s'en ressent : 57 % qui ont un taux d'effort important éprouvent un sentiment de solitude, d'isolement. [url=http://www.frbiz.com/products/j-37177487/ipad_cover_cgi_005.html]barbour deutschland Congo l[/url] Il en ressort aussi [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] un sentiment de déclassement : 41 % des locataires estiment aux classes populaires ou défavorisées, contre [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]www.thehygienerevolution.com/hollister.php[/url] 30 % il y a dix ans.