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Notre interlocuteur soulignait que ses clients étaient essentiellement des Américains, des Australiens et des Chinois. Des Européens ? "Une poignée... ". On n'en saura [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] pas plus. Tout financier off shore est une ?le, hier comme aujourd'hui...
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De facto, un protectorat de la Nouvelle Zélande, les ?les Cook, à l'époque donnaient refuge aux capitaux des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] "super riches" américains et australiens et des entrepreneurs chinois et russes. Sans une poignée de milliardaires européens, à l'instar du baron .
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Les sociétés en question étaient domiciliées à Rarotonga, mais les fonds étaient gérés par des grandes maisons de courtage de , de la City ou de Genève. Quant à la puissance tutélaire, la Nouvelle Zélande, elle se refusait à dans cet archipel totalement autonome, par crainte de se de "néo-colonialisme"... Les autorités de Wellington avaient néanmoins obtenu, à la fin 1999, la nomination d'un commissaire indépendant aux [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] banques. Mais ledit fonctionnaire était bien s?r incapable de ces trusts complexes avec l' de deux secrétaires à mi-temps.
Des gentlemen, on ne pouvait plus [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] respectables ces avocats-financiers, sandales aux pieds et chemise hawa?enne aux couleurs criardes sur le dos ? Les revenus des licences bancaires remplissaient les caisses de ce volcanique et pittoresque de 11 000 habitants isolé au beau milieu de l'océan.
MINIMISER "BANALEMENT" SES IMP?TS
Bien malin qui, entre secret bancaire et éloignement géographique, était capable de [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] déceler l'origine de fonds dans cette place financière exotique. Il n'y avait ni imp?t sur les sociétés, ni sur les plus-values ou sur les droits de succession. Le gouvernement de Rarotonga ne disposait d'aucune information sur les dizaines de milliers de compagnies qui disposaient [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] d'un siège fictif auprès de l'une des sept firmes financières internationales agrées. Ces dernières n'étaient pas tenues d' leurs [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] clients ou de des registres.
Au printemps 2001, Le Monde m'avait envoyé en reportage dans le Pacifique pour enquêter sur les paradis fiscaux de cette région qui, profitant de l'éloignement [url=http://www.xmcyqh.com/news/html/?24758.html]moncler outlet How To Pick The Most Effective Software Program For Your Forex Trading Indicators[/url] géographique, de l'absence d'un régulateur digne de ce nom et du secret bancaire, accueillait les bras ouverts l'argent baladeur à la recherche d'un havre [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] de paix.
"Nous permettons à nos clients de banalement leurs . Mais il n'est pas question de l'argent du crime", nous disait un avocat australien spécialisé dans la mise sur pieds de s-écrans. On les appelait "cookies", ces [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] entités juridiques locales créées dans [url=http://bbs.ynpcc.com/home.php?mod=space&uid=72571][/url] le cadre de l" Companies [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Act", texte voté par l'assemblée locale-croupion réglementant soit disant l' financière. On retrouvait d'ailleurs les mêmes montages dans les autres zones off [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] shore de la région, Nauru, le Vanuatu, Samoa ou Nioué.

AVOCATS EN CHEMISES HAWAIENNES
A la suite de constantes pressions de la communauté internationale, les ?les Cook ont réformé leur législation et sont rentrés dans le rang. L'archipel ne figure plus aujourd'hui sur la liste des quatorze pays ne répondant pas aux critères de transparence du Forum mondial du G20.
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Surprise, Rarotonga, la capitale de l'archipel, ne sentait pas le tapageur et l'argent noir à plein nez, comme les petits paradis financiers des Antilles. Pas de Rolls, de limousines, de palaces, de plages privées. Dans le "-ville", à l'écart des boutiques à bibelots, des bars en plein air imitation tropicale et des marchands de glaces, s'élevaient des constructions blanches de deux ou trois étages, à charpente de bois, munies d'auvents : [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] [url=http://www.gyaan.in/discussion/5827/barbour-uk-outlet-la-grande-reforme]barbour uk outlet La grande réforme[/url] la "City", la place financière off shore, ne payait pas de mine.