www.dworekprzeznaczenia.fora.pl

ierm8ec8

Les conditions de l'arrestation semblent confirmer l'existence de désaccords persistants entre le gouvernement serbe dirigé par Zoran Djindjic et le président fédéral Vojislav Kostunica, qui s'est opposé jusqu'ici à l'extradition de l'ancien homme fort de Belgrade.
De notre correspondant.
L'arrestation de Slobodan Milosevic n'aura finalement guère suscité d'émotion à Belgrade ni dans toute la Serbie. Les épisodes confus du siège établi devant la villa de l'ancien président, après les premières tentatives manquées d'arrestation, dans la nuit de vendredi à samedi, avaient pourtant suscité toutes les interrogations.
" Pourquoi avoir attendu si longtemps ? Il aurait été beaucoup plus simple d'arrêter Milosevic il y a plusieurs semaines, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] sans toute cette mise en scène ", [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] s'indigne ainsi Milo, un Belgradois, opposant de toujours à l'ancien président. [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] La confusion la plus totale a en effet semblé régner de vendredi soir jusqu'aux petites heures de l'aube, dimanche matin, quand l'ancien [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] président [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] s'est finalement rendu à la police. Dès que la nouvelle de l'imminence d'une opération de la police s'est répandue, le carré des [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister outlet[/url] derniers fidèles s'est regroupé autour de la villa de Dedinje, transformée en bunker. Les rumeurs les plus folles ont alors eu cours. Slobodan Milosevic aurait, selon les uns, déclaré " qu'il ne se rendrait pas vivant ", tandis que des sources proches de la police faisaient monter la pression, en expliquant que ses proches [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] disposaient d'un véritable arsenal. Deux assauts de la police ont échoué dans la nuit de vendredi à samedi, mais [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] dimanche matin il semble que seule la fille de Slobodan Milosevic, Marija, ait tiré quelques coups de feu. Samedi soir, des cadres du Parti socialiste de Serbie, la formation de l'ancien président, avaient annoncé que des négociations étaient en cours avec les [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] autorités pour trouver une issue " digne " à la crise. Ces négociations ont peut-être permis un dénouement rapide, mais la marge de manouvre de Slobodan Milosevic et de ses proches était de toute fa?on extrêmement réduite. Peut-être l'ancien homme fort de Belgrade s'est-il attendu jusqu'au dernier moment qu'un mouvement d'opinion se dessine en sa faveur, obligeant la police a suspendre son action, mais la mobilisation n'est [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] pas venue.
En attendant jusqu'au dernier moment de l'ultimatum fixé par les USA, qui faisait obligation à la Serbie d'amorcer sa coopération avec le TPI avant le 31 mars sous peine de suspendre les aides financières indispensables au pays, les nouvelles autorités de Belgrade semblent cependant avoir voulu donner le caractère le plus thé?tral possible à cette arrestation, peut-être pour essayer de démontrer à l'Occident combien elle était difficile.
L'ancien homme fort de Belgrade va en effet devoir répondre d'accusations d'abus de pouvoir et de malversations fiscales devant la justice serbe. Les autorités yougoslaves expliquent qu'il leur faut adopter une loi spécifique pour envisager de déférer Slobodan Milosevic devant le Tribunal pénal international (TPI), car la Constitution interdirait le transfert d'un ressortissant yougoslave vers une juridiction internationale.
Les conditions controversées de l'arrestation semblent confirmer l'existence de désaccords entre l'armée fédérale et la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] police de Serbie, qui dépend désormais du gouvernement dirigé par Zoran Djindjic. Au contraire, l'armée ne doit répondre qu'au président fédéral Vojislav Kostunica, qui s'est toujours opposé à la coopération de la Yougoslavie avec le Tribunal pénal international de La Haye. Samedi matin, le Premier ministre de Serbie, Zoran Djindjic a ainsi vitupéré contre les unités de l'armée qui assuraient la surveillance de Slobodan Milosevic et qui auraient fait obstruction à l'action de la police.
En janvier dernier, la visite à Belgrade de Carla del Ponte, procureur général du TPI, s'était ainsi soldée par un échec, le président Kostunica refusant de prendre aucun engagement concret. Le TPI se veut aujourd'hui confiant, s'attendant à un transfert de Slobodan Milosevic " d'ici à la fin de l'année ". Beaucoup d'analystes de Belgrade reconnaissent que si le gouvernement peut gagner un peu de temps, il devra en effet t?t ou tard accepter de coopérer avec le TPI.
Le dénouement rapide de la crise écarte l'hypothèse d'une confrontation politique ouverte entre Zoran Djindjic et Vojislav Kostunica, mais les différences d'approche entre les deux hommes ne devraient pas manquer de resurgir lorsque le TPI placera la Yougoslavie devant l'obligation de lui remettre Slobodan Milosevic.
La juridiction internationale a été présentée en Serbie durant des années comme une justice " partiale " et fondamentalement " anti-serbe ". Le président Kostunica avait fait campagne, l'été dernier, en s'engageant à ne pas coopérer avec le TPI, et l'aile la plus nationaliste de la nouvelle majorité reprend largement à son compte cette analyse. Pourtant, la population serbe est désormais avant tout soucieuse [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] de tourner la page du passé.
Roger Chambaud.
相关的主题文章:

[url=http://woxo.cc/forum.php?mod=viewthread&tid=3143932&fromuid=210187]hollister france Procès historique à Birmingham, Alabama Humanite[/url]

[url=http://51yjzh.com/bbs/home.php?mod=space&uid=54833][/url]

[url=http://www.duanat.com/home.php?mod=space&uid=18192][/url]