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de chocolat n'augmente plus. Sept kilos par personne et par an. A plusieurs tablettes des Allemands, champions du monde avec plus de 9 kilos. Signe qui ne trompe pas : les ventes de décembre, traditionnellement les plus importantes de l'année, ont chuté de 3 % en 2001 dans la grande distribution. Le chocolat, consommé chaque jour par 17 millions de Fran?ais, perdrait-il de son attrait face à une offre de biscuits et de bonbons de plus en plus concurrentielle ?
Première certitude, les Fran?ais ne devraient jamais leurs voisins nordiques. "En du Nord, le chocolat est considéré comme un aliment de consommation courante, tandis qu'en France [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] il reste un aliment de fête", explique Sylvain Margoud, secrétaire national de la Chambre syndicale nationale de la chocolaterie (CSNC). Un aliment festif à tel point que, selon un sondage publié vendredi 29 mars par la Sofres, pour 60 % des 18-60 ans, la période de P?ques évoque moins une fête religieuse que celle du chocolat. "La demande est stable mais en termes de qualité de nouveaux créneaux sont nés, constate Maurice Delaporte, directeur des affaires économiques à la CSNC. Faute de volume, les chocolatiers s'efforcent de des produits à meilleures marges, plus haut de gamme." Dans un marché où le prix au kilo varie de 1 à 100 entre les premiers choix et les chocolats de , l'enjeu est [url=http://www.521tibet.com/forum/home.php?mod=space&uid=218037][/url] de taille.
Ces deux pays "ont eu leur heure de gloire ; désormais, dans le chocolat, le monde du luxe se tourne vers la France", affirme , responsable des ventes chez . Misant sur l'image gastronomique de la France, cette PME stéphanoise de 100 employés et 7 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2001 se lance sur le marché du luxe avec une gamme spéciale pour les grands h?tels, les grands restaurants et les grandes épiceries parisiennes. Dernière innovation : un partenariat avec certains grands vins, [url=http://www.oneg.zakkaz.ne.jp/~saya/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]hollister outlet sale Mad Men[/url] une confiture de chocolat, et des variétés aux fruits exotiques pour le marché asiatique. Depuis deux ans, les ventes de Weiss explosent. En 2000 et en 2001, + 100 %, et des croissances à deux chiffres sur les marchés américain et surtout [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] japonais, où Weiss réalise aujourd'hui 8 % de son chiffre d'affaires.
Toutes les papilles attendent dorénavant la date fatidique : ao?t 2003. L'entrée en vigueur de la directive européenne sur le chocolat permettra d' jusqu'à 5 % de graisse végétale dans les recettes à la place du traditionnel beurre de cacao. Dans un marché saturé où le co?t de revient de 1 kilo de matière grasse végétale est cinq fois inférieur à celui de 1 kilo de beurre de cacao, les [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] promesses des industriels résisteront-elles longtemps à une baisse facile des co?ts de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] production ? Les PME comme [url=http://www.weddingdress.fora.pl/plus-size-wedding-dress,1/doudoune-moncler-homme-contre-langleterre-blanc-v,4146.html#4168]doudoune moncler homme Contre lAngleterre, Blanc v[/url] les grands groupes affirment aujourd'hui privilégier la qualité.

Comme le reste du secteur agroalimentaire, le chocolat met en concurrence en France quelques grandes multinationales et des dizaines de PME. Six groupes étrangers (Kraft Foods, Nestlé, Masterfoods, Ferrero, Cadbury, Lindt) et un fran?ais (Cémoi) accaparent les deux tiers du marché des ventes grand public gr?ce à des unités de production réparties dans toute l'Europe. Kraft Foods fabrique en France ses produits Suchard, mais en ses Toblerone et en son chocolat C?te-d'or. De même l'anglais Cadbury joue la carte "made in France" avec ses produits Poulain. Dans ce jeu inégal, les quelque 80 PME restantes ramassent [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] les miettes et s'efforcent de sur des niches : le chocolat saisonnier de No?l, de P?ques ou encore [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] le marché très haut de gamme à l'export, jusqu'alors dominé par les chocolatiers belges et suisses.
Pour cela, ils sont à l'aff?t de tous les changements dans les modes d'alimentation. A l'heure où quatre Fran?ais sur cinq mangent entre les repas, les grands gagnants sont les fabricants [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] de barres, billes chocolatées [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] et autres tablettes petit format. Souvent produits par les groupes américains, ils accaparent l'essentiel de la croissance des ventes. A grand renfort de publicité, certaines multinationales tentent d' des produits différents en fonction des heures de la journée. moins et plus cher "Dans la chocolaterie, la tendance est à la complexification des produits", confirme M. Margoud. [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] Fini le simple chocolat au lait. L'heure est au fondant, au fourré, au craquant, aux éclats de fève et au "pur origine" (du , du , de Java...), à 80 %, 90 % [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] ou même 99 % de cacao. [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] Et, quand il n'est pas "pur origine", le chocolat se décline en aliments biologique, amincissant ou même antistress. Les quantités consommées sont stables mais leur valeur ajoutée augmente. "Les Fran?ais mangent désormais du chocolat haut de gamme, plus élaboré, à forte teneur en cacao", se félicite , directeur général de , numéro 2 des bonbons de chocolat et numéro 4 des tablettes. "Le consommateur en mange moins mais mieux", explique , industriel du chocolat dans l'Aube. Mieux et surtout plus cher : en dix ans, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] la demande de chocolat a augmenté deux fois plus vite en valeur qu'en volume, selon une étude de marché de l'institut Xerfi de 2001.